Vous aimez intervenir tout le temps (dix fois par jour ou par heure, vous étonnant que l'on ne réagisse pas, intimant celui-ci ou celui-là de vous répondre) mais ne vous apercevez-vous pas que c'est fatigant, qu'on vous lit parfois en se disant qu'on ne nous y reprendra plus, que le forum est encore devenu impossible, qu'on reviendra plus tard quand P. Labeuche se sera assagit ? Mais il n'y a rien à faire, vous annoncez votre sortie et vous êtes de nouveau là et à vous lamenter, qui plus est, de la désertion de chacun. (sic)
Eh oui, Madame G avait raison, pardi ! Comme chacun peut s'en apercevoir, il aura suffi que Beuche n'intervienne plus sur la SLRC pour que l'agora d'icelle retrouve une nouvelle jeunesse, un enthousiasme délirant, une communion de tous les instants entre tous ces intervenants si fins, si délicats, si éloquents qui regrettaient, il y a peu, l'intrusion de nouveaux qui troublaient si fraternelle harmonie.
Vous ne les y voyez pas ? Mais c'est qu'ils n'ont pas besoin de se montrer, voyons, c'est si vulgaire de se montrer ! Chut...
Ah ! Depuis le 28 septembre que Beuche n'intervient plus, là-bas, Madame G peut enfin souhaiter un prix pour Kamureno, Didier Goux n'a plus à me rappeler qu'il y autre chose dans la vie, et Rémi Pellet peut enfin respirer.
Et surtout, surtout, Renaud Camus va pouvoir avoir toutes les réponses à ses interrogations sans que Compeed-Butch ne lui gâche la fête !
21 commentaires:
Grâce au ciel, il vous reste Jérôme Vallet, grand fournisseur de commentaires : de quoi vous plaignez-vous ? Vous allez voir : d'ici trois semaines ou trois mois (je parierais volontiers pour trois semaines), vous aurez même droit à des billets entiers chez Georges, entièrement à vous consacrés...
Et foutez donc la paix à Mme G., qui, je suppose, a déjà oublié votre existence. (Et peut-être aussi la mienne.)
Mais enfin, Didier Goux, vous vous plantez sur tous les points !
D'abord, il ne me "reste" pas Jérôme Vallet, puisqu'il n'est jamais (ou presque) intervenu sur la SLRC quand j'y étais.
Ensuite, Georges ne vous a pas attendu pour consacrer des billets (parfois déplaisants, oui oui) à ma petite personne, allez-y donc voir de plus près.
Aussi, Didier Goux, je fous une paix royale à Madame G, car je ne fais que la citer, ici, rien de plus, contrairement à elle qui, je vous le rappelle au passage, était venue sur mon blog, sans aucun rapport avec le billet en question, pour me balancer son petit jugement diffamatoire en pleine gueule. Je ne vais la chercher ni chez elle, ni sur la SLRC, j'en parle juste (une fois, juste, la première et la dernière) ici, où rôdent trois pelés et un tondu, sans rien de diffamatoire.
Enfin, Didier Goux, remarquez que j'ai la décence de ne plus intervenir sur votre blog, malgré quelques insultes et quelque appel à m'euthanasier (sans compter quelques délires sur l'identité des uns et des autres).
Alors vos injonctions, comprenez que vous pouvez vous les garder, étant très malvenu et vtrès mal placé pour me les adresser.
Vous avez réussi votre coup, vous et vos amis, vous êtes débarassé de moi sur la SLRC : alors jubilez sereinement !
Et je peux vous assurer que je ne regrette rien.
Et sachez en outre, Didier Goux, que j'ai gardé l'estime (réciproque) de plusieurs camusiens. (ce qu'il me "reste"...)
« Grand fournisseur de commentaires »
Quel humour, le gros Goux, quel humour !
Pascal, ne faites pas comme la femme de Loth. Tant de sel serait mauvais pour vos artères. Votre site est bien plus passionnant que celui de la SLRC.
PS. Je désapprouve naturellement toutes ces attaques personnelles contre M. Didier Goux, non seulement parce que j'ai toujours eu avec lui les rapports les plus courtois, mais surtout parce que je déteste ces manières qui sont.... détestables.
Tout ça me donne furieusement envie de faire des attaques personnelles et gratuites.
Michel, vous savez en quelle haute estime je vous tiens.
Néanmoins, permettez-moi de vous dire que là, vous m'estomaquez.
Où voyez-vous, dans mon billet, des attaques personnelles contre M. Goux ?
Aussi, vous intervenez pour me dire ceci, mais ne vous êtes jamais indigné d'insultes contre moi et, plus grave encore, de franches rigolades autour du souhait de ma mort sur le blog de M. Goux, alors comprenez que je ressens un net sentiment d'injustice et d'exaspération.
Et, encore une fois, citez-moi une seule phrase de moi sur ce blog où je fais des attaques personnelles contre M. Goux.
Enfin, Michel, comprenez que j'ai investi et projeté beaucoup d'affect sur la SLRC, et que j'ai... et puis non, rien, terminé.
Mais enfin, Beuche, il va de soi que Michel en a après Georges, et pas après vous !
Michel est un homme charmant, mais qui a parfois des réactions pour le moins loufoques, Beuche. Il faut le savoir, et, quand on est en très bonne santé, l'accepter.
Allez, mon Beuche, Georges va presser son corps immaculé contre le totem à bits, prêt à recevoir toutes les flèches du martyre. Demain matin, vous n'aurez plus qu'à passer un coup de balai et à faire brûler un peu d'encens pour chasser les odeurs fétides.
Investir et projeter de l'affect au royaume camusien !
Et pourquoi pas "des hectolitres de foutre déversés dans des rectums improductifs" ?
Je ne chasse rien du tout, Georges, et les odeurs que vous exhalez ne me sont pas fétides.
Eh oui, Fabrice, j'ai été con, hein !...
Non, non,cher Pascal, c'est aux attaques du cher Georges que je pensais. Je tiens à vous dire combien j'ai admiré votre sang-froid quand vous avez subi des attaques fielleuses sur le site de la SLRC. Vous êtes ce que j'appelle un type bien, car vous ne vous êtes jamais abaissé à répondre au caniveau de leur mépris et vos colères sont droites, franches et légitimes. Quant au site de M. Goux, je ne le fréquente pas. Mais si ce que vous me dites est vrai, alors il ne mérite ni égard, ni attention.S'agissant maintenant de vos attentes déçues, je les partage entièrement et je comprends combien votre déception a été grande. On croit trouver les vertus longuement chantées dans les écrits du maître et l'on déchante.face à des spadassins jaloux et cruels... Pour ma part,j'ai mis des années à me remettre d'une rencontre avec Renaud Camus. Il faut lire l'oeuvre, c'est tout.
Bon, Pascal, je vais faire une dernière intervention chez vous. Il y a des choses que vous ne semblez pas comprendre (et je trouve que c'est tout à votre honneur, du reste.) Il sera inutile de répondre à ce commentaire, car je ne reviendrai pas, donc épargnez votre temps.
D'abord, mon commentaire d'hier était une sorte de "petite claque humoristique", si vous voulez : rien à prendre au sérieux, donc. Mais je sais que vous prenez TOUT au sérieux, j'aurais donc dû, peut-être, préciser.
Je ne parlais pas de la SLRC, mais bien de votre blog, lorsque j'ironisais sur la main-mise de Jérôme : ne faites donc pas semblant de ne pas l'avoir compris.
Jérôme est un homme brillant, séduisant, intelligent plus que vous et moi, et suffisamment pénible pour en devenir irrésistiblement attirant. Il sait très bien lui-même à quel point il est attirant, combien (par exemple) sa voix est merveilleuse, même pour un homme n'ayant aucune appétence homosexuelle.
Comment vous dire ? Je suis par exemple le sale con exemplaire, dans le bestiaire de Jérôme Vallet. Ça ne m'ennuie pas tellement. Ça ne m'ennuie même pas du tout.
Comment vous dire ? Il me semble évidemment que notre ami (c'est juste pour l'énerver...) ne m'a jamais pris pour le gros con qu'il dépeint. Il en rajoute. Il s'amuse.
Bien sûr, Jérôme Vallet est plus brillant que moi : ce n'est pas dificile à constater. Il n'a pas forcément de mérite à cela, mon Pascal, il n'en a même à peu près aucun : Jérôme est sorti d'une famille où... dont... et moi non. Et vous non plus, si j'ai bien compris.
Bref, tout cela pour vous dire que Jérôme ne vous a pas encore consacré de billets déplaisants, contrairement à ce que vous pensez. Il le fera, un de ces jours. Il est obligé. Et, ce jour-là, vous ne comprendrez rien à ce qui vous arrive.
Pour le reste : personne ne vous a rien demandé, quant à mon blog, etc. Intervenez où vous voulez, quand vous voulez, tout le monde s'en ficher, Pascal.
Dernière phrase, concernant ce Corto qui passe son temps à venir à me titiller sur mon blog et qui, ici, vient faire semblant de prendre je ne sais quelle défense que je ne lui ai pas demandé : envoyez-le donc chier. Un peu marre des cons.
Je vous remercie, Michel, pour vos compliments.
Mais si c'est Georges que vous visez, pourquoi ne pas le dire chez lui ?
Il ne me semble pas que ce blog soit le défouloir de Georges, pas du tout, j'y apprécie ses interventions (même quand elles me sont désagréables), je trouve que c'est un homme attachant, très intelligent, et je ne crains pas ses piques.
Concernant sa relation avec M. Goux, je n'ai pas tous les tenants et aboutissants pour en juger publiquement (même si j'ai mon opinion).
Et je ne juge pas nécessaire ni souhaitable de censurer. M. Goux peut du reste parfaitement lui répondre.
Non, Didier, ce Corto n'est pas Corto 74, j'en suis convaincu.
Et pourquoi vous comparer sans cesse à Jérôme ? C'est absurde, absurde. Je me tape qu'il soit plus brillant que vous, que moi, ou pas.
Il est extrêmement séduisant, oui (même si je ne l'ai jamais rencontré), mais le tableau que vous en faites est le portrait d'un grand pervers, et je ne pense pas qu'il le soit.
J'ai eu mes prises de bec avec lui, très fermes, cela ne m'empêche pas, au contraire, même, de vouloir continuer à apprendre à le connaître, et je pense que c'est réciproque, sinon il ne serait pas là.
Pour le reste, nous verrons.
Dernière chose : « personne ne vous a rien demandé, quant à mon blog, etc. Intervenez où vous voulez, quand vous voulez, tout le monde s'en ficher, Pascal. » C'est exactement ce que je déteste chez vous, Didier : la condescendance de celui qui est au-dessus de tout, revenu de tout et qui sait pour les autres.
Et pour vraiment finir, quand même : vous pensez que j'ai vu quelque chose venir quand vous m'avez craché à la gueule sur la SLRC et sur votre blog ?
Oh, Pascal,c'était juste à propos d'un commentaire de Georges sur votre site à propos du délicieux M. Goux... Pardonnez ma loufoquerie. Mais, vous avez raison je n'ai rien à voir avec Corto74 et j'apprécie Georges autant que vous. Ce n'est pas pour autant que je vais cirer les pompes de cet être supérieur. Je n'ai pas l'âme d'un valet.
Bonne chance, ma poule...
"Il sera inutile de répondre à ce commentaire, car je ne reviendrai pas, donc épargnez votre temps."
Promesse d'ivrogne
Plus ça va, moins je comprends. "Aucoune inportanz", comme dirait Picasso.
Je retourne voir mon Charles Bronson. Promesse d'aveugle.
J'adore :
« Il y a des choses que vous ne semblez pas comprendre (et je trouve que c'est tout à votre honneur, du reste.) »
Tellement "signé Digoux", ça !
Quelqu'un pourrait-il me prêter l'heure qu'il est ?
Uniquement si vous me la rendez.
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