Beuche n'arrête pas de le dire, il faudrait qu'il en tire toutes les conséquences : il n'a rien à dire. Ou plutôt, il ne sait rien dire, ou pas grand-chose. C'est comme sur un divan de psychanalyste : on parle, le silence nous répond, ou quelques mots, et on se rend compte que là, la parole est un acte, et un acte en pure perte.
C'est cette perte qui est douloureuse. Et l'espoir d'un écho, d'un mot, d'un geste, d'un signe, fait que l'on ne peut pas ne pas se rallonger. Et rend la dépendance inexorable.
(photo prise par Beuche)
08/04/16
Il y a 8 ans
15 commentaires:
Et là, normalement, le commenteux blogeant dira :
"Jolie photo."
Et c'est reparti pour un tour…
Ou bien, s'il est passé par Flickr : « Wonderful shot ! »
Gardez vos insultes pour vos groupies, Monsieur Labiche !
Je veux bien, mais mes groupies ne se bousculent pas au portillon...
J'vous r'mercie bien !
Allez donc vider votre libido sur la Sleurk, tiens, au lieu d'être désobligeant avec Georges Le Charitable.
Jolie photo !
(C'est bon ou on la refait ?)
Georges, comment pouvez-vous penser une seule seconde que je puisse vous considérer comme une groupie ?
Vous êtes mon pilier de bar, mon plus fidèle commentateur, mon mécène en bits, presque, oserais-je dire !
Silou, je vous connaissais plus sincère...
J'avoue : votre photo me donne envie de prier.
Mon aveu est davantage un acte manqué qu'un acte de charité.
J'aime beaucoup ce shoot (à vrai dire).
Merci Kim !
Silou, vous pouvez vous agenouiller devant moi autant que vous le désirez.
Mon dieu ! A genoux !
C'est bien, Mon Fils, priez pour le salut de l'âme des pauvres types...
N'oublions pas les typauvres, camarades !
c'est le reflet des fesses de Paulette, là, par terre dans l'allée? *_*
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