Alors voilà.
Ne pouvant me résoudre à ne pas poser ma couenne sur le web, j'ouvre ce bar virtuel, où rien d'intelligent n'aura à être dit, où aucun billet ne contiendra de message, et où le tenancier ne promettra rien.
Au moins, vous êtes prévenus.
Alors pourquoi, allez-vous me demander la queue frémissante ou les lèvres dégoulinantes ?
Pour moi, mes amis. Pour moi.
Elle est pas belle, la raison ?
Allez, tournée !
9 commentaires:
Vous pourriez prévenir, non ?
Prévenir de quoi ?
De l'ouverture de votre blog-bar.
Il vient d'ouvrir, ne vous inquiétez pas, vous n'avez rien loupé (à part quelque trollage aussitôt supprimé).
Je vous fausse compagnie ce soir. Je suis épuisée.
Reposez-vous bien. Je tiens le comptoir.
C'est toi Antoine, le directeur de ce nouvel établissement ?
J'ai zoomé le bar. je m'y sens bien.
Appas, installez-vous. Je vous sers quoi ?
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