Comme Beuche est très compréhensif et pas bégueule, il vient de créer cette zone de défouloir : lorsqu'un blogger voudra en découdre avec un autre, c'est ici qu'il sera prié de s'adresser.
Pour commencer ces réjouissances :
François Matton a dit...
Dites, Beuche, ça ne vous froisserait pas si je me permettais de laisser ici un message que j'aurais souhaité laisser chez Georges, sous le nouveau billet qu'il a écrit sur moi ?L'animal ne m'autorise pas à lui répondre là-bas. Un droit de réponse serait pourtant la moindre des choses, ne pensez-vous pas ?Comme je ne compte pas revenir ensuite ici lire toutes les insanités qu'il ne va pas manquer d'écrire, je me permets de le copier sans attendre votre autorisation. Vous pourrez bien entendu l'effacer si vous n'êtes pas d'accord (non avec le fond, mais avec le procédé).Je suis sur le point de subir la même fixation monomaniaque qu'il fait sur Didier Goux (après bien d'autres).Je m'étais déjà fâché avec lui y a quelques années (vous avez dû lire ça sur la SLRC), et puis il est revenu vers moi sur la pointe des pieds, déposant de temps à autre des commentaires sur mon blog. Je l'ai cru de bonne foi, j'ai progressivement baissé la garde. Je le regrette bien à présent.Voici donc le message que j'aurais souhaité pouvoir laisser sous son billet du 7 octobre. Ça commence par une allusion à "de tout petits dessins" dont je faisais mine de lui reprocher l'orthographe, prévoyant que si je le faisais cela allait déclencher tout un pataquès — ce qui n'a pas manqué. Voici :Non ? Je rêve ! Vous êtes réellement tombé dans le panneau ??Je l'avais dit qu'il nous en ferait tous un paragraphe ! À tout les coups on gagne ! Tout les coups ! Y peut pas s'empêcher, c'est plus fort que lui.(Bon c'était un peu pervers, désolé.)Soyons sérieux.Je recherche le bonheur, moi ?Vous dites ça, j'imagine, parce que je parle du zen et qu'avec vos petits préjugés "zen = quête du bonheur". C'est ça ?Mon pauvre ami ! (ça vous ennuie que je prenne ce ton condescendant, hein ?, je sais vous exaspérer, n'est-ce pas ? j'ai l'art !)Le zen c'est simplement apprendre à se tenir face à la souffrance, sans chercher à l'arranger. Le zen c'est justement renoncer au bonheur (et même au bonheur négatif, celui précisément qui vous motive.)Vous confondez visiblement le zen avec le bouddhisme tibétain, tel qu'on le trouve résumé à la télévision. Bon, passons.Voulez savoir pourquoi j'ai parlé de vos peintures virtuelles ? Parce que vous avez osé vous moquer ici de quelqu'un qui offrait à entendre sur son blog, en modeste amateur, une interprétation de Schubert. Il demandait l'indulgence à ceux qui voudraient bien écouter ce qui lui avait apporté du plaisir. Et vous êtes allé rapporter ici, en renvoyant au blog en question, que vous aviez "cru avoir écouté un Schubert dont bien entendu pas un humain n'aurait osé le rendre public."Après ça il faudrait qu'on soit indulgent avec votre amateurisme ?Et pourquoi vous justifier en essayant de nous faire croire que vous ne faites ça que parce que ça vous rapporte un peu d'argent ? C'est pathétique.
9 octobre 2009 10:51
Dites, Beuche, ça ne vous froisserait pas si je me permettais de laisser ici un message que j'aurais souhaité laisser chez Georges, sous le nouveau billet qu'il a écrit sur moi ?L'animal ne m'autorise pas à lui répondre là-bas. Un droit de réponse serait pourtant la moindre des choses, ne pensez-vous pas ?Comme je ne compte pas revenir ensuite ici lire toutes les insanités qu'il ne va pas manquer d'écrire, je me permets de le copier sans attendre votre autorisation. Vous pourrez bien entendu l'effacer si vous n'êtes pas d'accord (non avec le fond, mais avec le procédé).Je suis sur le point de subir la même fixation monomaniaque qu'il fait sur Didier Goux (après bien d'autres).Je m'étais déjà fâché avec lui y a quelques années (vous avez dû lire ça sur la SLRC), et puis il est revenu vers moi sur la pointe des pieds, déposant de temps à autre des commentaires sur mon blog. Je l'ai cru de bonne foi, j'ai progressivement baissé la garde. Je le regrette bien à présent.Voici donc le message que j'aurais souhaité pouvoir laisser sous son billet du 7 octobre. Ça commence par une allusion à "de tout petits dessins" dont je faisais mine de lui reprocher l'orthographe, prévoyant que si je le faisais cela allait déclencher tout un pataquès — ce qui n'a pas manqué. Voici :Non ? Je rêve ! Vous êtes réellement tombé dans le panneau ??Je l'avais dit qu'il nous en ferait tous un paragraphe ! À tout les coups on gagne ! Tout les coups ! Y peut pas s'empêcher, c'est plus fort que lui.(Bon c'était un peu pervers, désolé.)Soyons sérieux.Je recherche le bonheur, moi ?Vous dites ça, j'imagine, parce que je parle du zen et qu'avec vos petits préjugés "zen = quête du bonheur". C'est ça ?Mon pauvre ami ! (ça vous ennuie que je prenne ce ton condescendant, hein ?, je sais vous exaspérer, n'est-ce pas ? j'ai l'art !)Le zen c'est simplement apprendre à se tenir face à la souffrance, sans chercher à l'arranger. Le zen c'est justement renoncer au bonheur (et même au bonheur négatif, celui précisément qui vous motive.)Vous confondez visiblement le zen avec le bouddhisme tibétain, tel qu'on le trouve résumé à la télévision. Bon, passons.Voulez savoir pourquoi j'ai parlé de vos peintures virtuelles ? Parce que vous avez osé vous moquer ici de quelqu'un qui offrait à entendre sur son blog, en modeste amateur, une interprétation de Schubert. Il demandait l'indulgence à ceux qui voudraient bien écouter ce qui lui avait apporté du plaisir. Et vous êtes allé rapporter ici, en renvoyant au blog en question, que vous aviez "cru avoir écouté un Schubert dont bien entendu pas un humain n'aurait osé le rendre public."Après ça il faudrait qu'on soit indulgent avec votre amateurisme ?Et pourquoi vous justifier en essayant de nous faire croire que vous ne faites ça que parce que ça vous rapporte un peu d'argent ? C'est pathétique.
9 octobre 2009 10:51
Beuche a dit...
Vous êtes sacrément gonflé, François Matton. La moindre des choses eût été de me demander cela par mail privé, accesible par quiconque sur le forum de la SLRC. Je vous y aurais répondu dès ce soir.Alors après, votre "ça ne vous froisserait pas trop", c'est vraiment du foutage de gueule, hein. J'en parle avec Georges.
34 commentaires:
Ah non, on ne va pas ouvrir un autre front toutes les cinq minutes…
Juste déplacé, le front.
Georges, pourriez-vous copier/coller votre réponse à M. Matton que je le supprime de mon billet sur les pantins ?
Matton, je vous explique en deux mots. Droit de réponse, oui, vous n'avez pas tort. Seulement si je publie votre petit commentaire (que j'avais déjà lu), je vais y répondre, voyez-vous. Et si j'y réponds, vous voudrez un droit de réponse. Et je vais écrire autre chose en réponse à votre réponse…
Bref, j'ai décidé de trancher dans le lard. D'autant que vous êtes assez malhonnête, dans votre réponse, ce qui n'incite pas au dialogue.
Ok, ça me va parfaitement.
Nous avons eu l'un et l'autre l'occasion de dire ce que nous pensions. Malhonnête pour malhonnête, tenons-nous en là.
(Merci à Beuche.)
Ha ! J'ai eu peur ! J'ai cru que c'était le coeur de Didier Goux !
Silou !!! Je vous en prie, je viens de déjeuner…
Vous aviez raison, Beuche, j'avais un commentaire de Digoux chez moi. Même pas fait attention en le publiant…
Mais c'est peut-être vous qui m'avez fait une blague ?
Pas du tout, Georges. Déjà que j'ai horreur de ces pseudos qui ne permettent pas d'identifier la personne (ou du moins d'en avoir une idée), je ne supporte pas ces cons qui se font passer pour quelqu'un qui existe vraiment.
Et puis quel serait l'intérêt, dans ce cas, pour dire ça. Non, je crois vraiment que c'est Didier Goux, même si je ne comprends pas le fait qu'il n'ait pas mis son nom en lien vers son blog.
Mais vous savez que cette histoire de lien vers le blog n'est en rien une confirmation de l'identité d'un blogueur. Enfin il me semble.
Cela dépend de la façon dont on paramètre ses commentaires. Enfin il me semble.
Oui, vous avez raison. Il faut que j'aille revoir ça chez moi.
Sans vouloir troubler la conversation, il y a des mois et des mois que je n'ai pas laissé de commentaire chez Georges, le dernier, destiné à répondre à une grossière calomnie, n'ayant bien entendu pas été publié.
Car, vous avez raison, je mets toujours le lien vers mon blog, pour qu'on soit sûr qu'il s'agit bien de moi.
Bien noté.
Je vois que ce "défouloir" reste bien utile, notamment pour corriger la censure mesquine que "Georges" exerce sur son blog, usant selon un schéma bien connu exactement des mêmes procédés qu'il a toujours dénoncés.
Il ne publie que ce qui l'arrange et va ensuite poser en seigneur las des commentaires inutiles dont il serait accablé (chochotte !...)
En ce qui me concerne je ne parlerai pas de calomnie mais tout simplement de bêtise. Ainsi il a réellement cru que je lui demandais sérieusement de retirer ses deux billets fielleux sur moi ! Je n'en reviens pas. Il déclare "Prof'Matton, après m'avoir supplié (avec des arguments tellement lamentables que je préfère pour lui ne pas les mentionner) de retirer le billet un peu ironique que j'ai écrit sur lui il y a peu" Le crétin ne sait plus lire l'ironie et voir quand on se fout de lui. Il tombe dans tous les panneaux. Vous pourrez en juger, je copie intégralement mon mail auquel il fait allusion :
"C'est si moche de se disputer !
Les hommes ne sont-ils pas faits pour s'entendre ? Au delà de nos différences de surface, n'existe-t-il pas une grande mer d'amour en nous ?
Allons Jérôme, effaçons toutes traces de notre mauvais pas. Je ne vous le demande pas pour moi, mais pour nous, pour la Vie.
Je veux garder le souvenir de ce qui nous a rapproché plus que ce bête dérapage qui nous a fâché.
Ne le niez pas : vous m'avez apprécié, Jérôme. Je ne dirais pas aimé, non, certes pas, je ne me fais pas d'illusions, mais que nous nous soyons appréciés est déjà énorme au regard de tout ce qui nous sépare.
Je suis un grand benêt idéaliste. Je pensais qu'entre vous et moi tout nous séparait sauf l'essentiel. Mais voilà que vous vous moquez de moi avec mon "essentiel", cruel que vous êtes ! Ne seriez-vous pas pour finir plus marxiste que moi ? Grand dieu ! Je dis n'importe quoi ? Je déraisonne ? C'est très vraisemblable, je suis un peu folle. C'est que notre dispute me trouble tant !
De grâce, encore une fois, je vous prie d'en retirer la trace, sinon dans votre cœur, du moins sur votre blog.
Faites-le en souvenir moi, de celui qui a été (un peu) votre ami.
François"
Aurait-il fallu que j'ajoute des cœurs clignotants pour le déciller ?
Ahlàlàlà, petit Georges, tout petit Georges qui joue au tyran alors qu'il n'est qu'un minuscule perroquet teigneux.
Et ça, pitoyable :
"Tout le monde sait que derrière mes petites critiques envers Renaud Camus se lit une énorme admiration pour l'œuvre, y compris et peut-être surtout l'œuvre "politique"."
Après la teigne, voici le fayot. (Alternance à laquelle Georges nous a également bien habitué.) Le fayot qui aimerait bien reprendre sa place sur les bancs parmi ses petits camarades.
"Tout le monde sait que je..." Oh oui, TOUT LE MONDE sait ça, voyons.
"Mes petites critiques" La bonne blague !
"une énorme admiration pour l'œuvre, y compris et peut-être surtout l'œuvre "politique"." M'étonne pas, tiens. Ce qu'il y a de plus faible. Le ramassis d'opinions monomaniaques laborieusement exposées comme par un vieux prof un peu lent croyant s'adresser à des imbéciles.
Guignol's Band.
Je savais déjà que Matton était un petit merdeux, mais depuis quelques jours je découvre le pauvre type prêt à tout pour ne pas perdre la face, tentant tous les coups de traviole, suite atonale de pets foireux. Quelle éloquence affolée dans la merdouille !
Travaille tes sphincters, Prof'MAtton !
Eh bien vous êtes content ! Tous vos efforts pour me tirer de mon ataraxie d'abruti bienheureux ont fini par porter leur fruit ! Je me place au même niveau que vous, je croise le fer, j'"échange" !
Vous taire, la fermer, ça vous avez du mal. "Tais-toi, je t'en prie !" : mon œil, à d'autres !
Blabla le Georges, blablablabla. Champion de la com-mu-ni-ca-tion.
("merdeux", "merdouille", "sphincters", dent creuse, vomi ... tout le registre scatologique de Hara Kiri. CQFD — voir plus haut.)
Mais les drôlesses se crêpent le chignon, ma parole! Messieurs, messieurs, vous êtes ridicules. De vraies concierges. Ah, certains doivent bien rire de vous.
Mon Cher Corto, je tiens juste à vous dire que vous avez vous aussi participé allègrement à des crêpages de chignon, comme vous dites, il n'y a pas si longtemps, avec le dénommé Pellet, sur la SLRC.
Et je n'ai pas trouvé ça ridicule du tout.
Je tiens à vous dire que je suis content, oui, content, que Matton, Georges, et même Goux (eh oui, même Goux) puissent venir sur mon blog dire ce qu'ils ont sur le coeur, à chaud, car il faut vraimnt prendre mon premier billet de ce blog très au sérieux, très au premier degré : « rien d'intéressant n'aura à y être dit », rien de précis, de "filtré", d' "éditorialisé", contrairement à ce que préconisait Pellet pour la SLRC justement, ne fait partie du programme de Beuche.
C'est là sa limite, et c'est là sa grandeur !...
Vous osez prétendre, Pascal, que j'aurai pu tomber aussi bas dans l'invective ? Ah ? c'est drôle, j'avais gardé une autre souvenir de ma dispute avec le citoyen Pellet. Traiter quelqu'un de "petit monsieur", ce n'est tout de même pas la même chose que de le traiter de "merdeux", non ? Toute dispute ne se vaut pas. C'est une question de niveau, comme la science bathmologique le démontre parfaitement. Je vous y sais sensible, cher ami.
Quant à votre site, vous avez raison. Ne changez rien.
Quant à votre site, vous avez raison. Ne changez rien.
Oups ! Désolé. Le début du gâtisme.
"Voir plus haut", mais c'est ce qu'on fait, Matton, c'est bien pour ça qu'on a du mal à t'apercevoir, petit nabot morveux qui se prend les papattes dans la moquette.
Tu parles de Hara-Kiri, pauvre trouduc constipé, mais Hara-Kiri, à côté de Matton, c'est la Bible, c'est Dante, c'est l'océan qui déferle dans ta tasse de thé vert ! "Porter leur fruit", mais de quoi il parle, ce con tout sec ? Ah oui, t'as raison, ataraxe un bon coup, avec des tirets entre chacune de tes syllabettes, t'as besoin d'ataraxer, c'est encore rien de le dire, ataraxe-toi le trou du cul avec ta brosse à dents, ça te ferait peut-être venir du poil au menton. Non mais regardez-le en train de photomatoniser, l'air d'un pape confit à l'eau de purge, notre brimborion de bédématton, comme il hiératise bien tout le grand souffle qui le déshabite du matin au soir ! On comprend que tu ne t'intéresses pas au monde, Matton, car la moindre des concierges te marcherait dessus sans même s'en apercevoir, tu as l'air d'un smiley, tu vois, le smiley tout-va-bien Matton qui vous décourage de vous lever le matin tellement c'est petit et triste ce qu'on voit à travers ses petites fantaisies frileuses donneuses d'énormes leçons.
Mais le caca, Matton, tu devrais t'en barbouiller matin et soir, rien que pour savoir de quoi ça cause dans le monde qui ne t'entoure pas. Tu fais pitié avec tes petits jappements tristes de Parisien tellement boboïsé qu'il ne sait même plus à quoi ressemblent les choses que tu fais semblant de dessiner de ton air pincé de baba qui aimerait tant être cool. Communication, pauvre tarte, mais tu parles de toi, là ? Mets-toi l'embouchure de Cannonbal Adderley dans le fion et bouffe du foin, pour savoir un peu comment regonfler ta tripe aptère. Tu ne communiques que ta constipation d'enfant gâté, mon petit François ! Est-ce que tu te rends compte, au moins, qu'à trente ans t'es déjà tout fripé du museau, tout aplati du regard, tout recroquevillé du coup de bite, tout flapi de l'audace ? Ah, ça n'étonne pas que tu te branles sur les livres de la Darrieussecq, tiens, c'est bien ton univers de puceau ensablé prétentieux encore boutonneux.
Ouuh ! J'aime quand il s'énerve comme ça ! et qu'il se mette à chevaucher tout à la fois Céline, Joyce, Artaud et Burroughs ! Ça réveille des vieux souvenirs de lectures adolescentes, ça ne manque pas de charme...
(Mais moi aussi je t'aime mon petit Georges ! Comment ne pas, alors que tu m'appelles François et que tu me tutoies (tu sais que ça me touche énormément, dis ? tu le sais ?))
Génial, le coup des "lectures adolescentes". Joyce, Artaud, Burroughs et Céline, Matton il se les enfilait à douze ans, tu vois, maintenant, Prof'Matton il a dépassé tout ça, quoi, non, on la lui fait plus, on va dire, en 2009, Matton il est devenu grand'sage, il lit les auteurs-P.O.L-ça-me-suffit, le Matton-2009… Merveilleux ! Tellement ça.
Lectures adolescentes ou pas, avouez que plus grand monde n'écrit des tirades comme les vôtres. C'est d'ailleurs ce qui attire chez vous : une vigueur d'antan, l'écho lointain d'une diatribe que l'on croyait depuis longtemps éteinte...
(J'ai changé ma photo-maton. C'est vrai que j'avais l'air constipé. Vous voyez, je sais tenir compte de ce que vous me dites. Je ne me braque pas. Je reste ouvert à la critique, je sais me remettre en question. C'est mon côté open. J'ai beaucoup travaillé sur moi pour arriver à cette ouverture. Ça porte ses fruits. C'est cool. Je suis une fontaine d'amour. Viens te décrasser en mon sein mon petit Georges, viens te délasser, Mozart aussi aimait le caca, il n'y a pas de mal, bien sûr, il n'y a pas de mal, tout va bien.)
T'as raison, Ducon, reste open.
(Deux messages précédents effacés après relecture pour corriger quelques fautes.)
Mais qu'il est bête ce Georges, mais qu'il est bête !
Sa bêtise est manifestement dictée par une méchante pathologie (en quoi bien sûr j'ai grand tort de lui répondre) : il faut nécessairement qu'il entende tout de travers, ou qu'il fasse semblant d'entendre tout de travers — peu importe —, le principal est qu'il reste vautré dans des "affects négatifs" (comme il est forcément extrêmement prévisible, je l'entends déjà réagir sur cette expression).
C'est une programmation ancienne, le pauvre y répond comme un automate. Tel le rat de laboratoire à qui on a détruit un lobe du cerveau, notre Georgeounet ne peut s'empêcher de mordre et de cracher sa bile noire.
Oh il fera bien semblant d'être aimable de temps à autre... Mais c'est uniquement pour attirer des naïfs (dont j'ai été) dans ses filets de veuve noire.
Une mauvaise foi himalayenne, une méchanceté de pitbull, un musicien raté, un peintre au-dessous de tout, seul, aigri, extraordinairement complaisant avec lui-même et dur avec les autres. Le cocktail est un peu fort.
Que ce petit procureur terroriste me reproche d'être un donneur de leçons ne manque pas de sel. Se faire traiter de con par une petite crotte, la belle affaire !
Adieu mon pauvre ami.
Je ne reviendrai plus vers vous. Je sais que vous ne m'entendez plus.
Je vous laisse à votre solitude froide, votre absence d'humour, votre négativité indécrottable.
Cet auteur a été supprimé par le message.
« Adieu mon pauvre ami. »
C'est beau, ça, on dirait du Pioche de la Vergne !
Non, Matton, pas ADIEU, non non non, j'en veux encore, moi, des messages comme le dernier, encore beaucoup, tous les jours, deux fois par jour. Steplaît !
« Seul, aigri, extraordinairement complaisant avec lui-même », magnifique ! « Vautré dans des affects négatifs", fabuleux ! « Petit procureur terroriste », grandiose ! Bien, aussi, « petite crotte », bien. Mais le thème que je préfère, c'est tout de même : « Musicien raté, peintre au-dessous de tout. » Ça c'est fort, hein, très très fort. Je crois que je vais me suicider, tiens. Ce sera de ta faute, Matton, hein, tout de ta faute ! Méchant !
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