jeudi 1 avril 2010

La fidélisation de la clientèle, dans certaines boutiques, frise, parfois, le harcèlement moral que le chantage affectif ne saurait dissimuler

(billet à la manière appasienne)

Voilà ce que j'ai lu ce matin en passant devant mon boucher :

Bonjour !
N'oubliez pas de commander votre agneau
Pascal !

Je suis certes très touché par cette attention, mais je trouve, pardonnez-moi, cette insistance affichée au vu de tous, particulièrement déplacée.

3 commentaires:

Appas a dit…

Cher ami, je m'associe de tout cœur à votre légitime indignation. Bien fraternellement.

Beuche a dit…

D'autant plus que l'on se sert de mon identité pour tout un tas de manifestations : veillée pascale, messe, week-end pascal.
Enfin c'est insupportable ! Cette manie a gangréné tous les médias en plus ! Je n'en dors plus.

Ånastase Petitpas a dit…

- En règle générale, je n'aime pas les démonstrations de familiarité de la part d'étrangers à mon cercle d'intimes.
Vous pouvez donc compter sur ma solidarité compatissante.
- Mêêêêê ! répondit l'agneau éponyme (et peut-être même tarbais, allez savoir... ).