vendredi 12 février 2010

Avec Beuche, fêtons la Saint-Valentin !

Beuche va peut-être mourir sur la route, ce week-end. Ou bien d'un infarctus. Ou bien sera-t-il toujours en vie lundi.
S'il crève, il aimerait bien la chaconne de la partita n°2, le concerto pour violon BWV 1042, et Erbarme dich, de Bach bien sûr, à sa messe funéraire. Une belle messe, dans une belle église, bien catholique.
Et après, au feu ! Ça évitera à ma dépouille d'entendre la fureur absurde du monde, et à ma tombe de recevoir les jets de pisse des connards de passage.

19 commentaires:

Marcoroz a dit…

Sur instruments baroques, j'espère !

Pas du Bach joué façon Tchaïko, avec un violon trafiqué, à archet droit, cordes en métal et prothèse (c'est comme ça que j'appelle la mentonnière)!

Appas a dit…

Où sont passées les autres pubs à chier ? J'ai envie de cliquer, moi.

Appas a dit…

R I P O S T E  G R A D U É E

« Vous m'avez rendu mon bien le plus précieux TARA...
Ma femme avait disparu depuis des mois. Vous avez découvert comment et pourquoi. Un malentendu profond l’avait éloignée de notre maison. Les devins m’ont convaincu de mes erreurs, et l’ont persuadée de revenir à la maison. C’est une nouvelle vie pour notre couple, nous voyons l’existence comme une suite de moments merveilleux. La tendresse a gagné définitivement ! » (Georges M. 39190 BEAUFORT)

« Grâce à vous TARA j’ai découvert la joie et l’amour des autres…
J’étais à la rue, sans emploi, isolée et fragilisée. Vous êtes la seule qui m’ait aidée sans me juger ou me rejeter. Sans vous, je ne serais probablement plus de ce monde. Grâce à vous TARA j’ai redécouvert la joie et l’amour des autres et vous vous êtes attachée à me rendre riche matériellement (total de mes gains : 59.780 Euros !) Bravo et merci ».
(Cécile S. 67120 MOLSHEIM)

« Mon commerce est florissant ! ...
Je tiens à vous remercier très chaleureusement pour votre aide, TARA. Vous tenez vos promesses car mon commerce est devenu florissant du jour au lendemain ! Les recettes sont de plus en plus importantes… Je dois admettre que vous êtes une femme hors du commun et que vos pouvoirs sont fantastiques »
(Arnaud D. 59300 VALENCIENNES)

«Un miracle ! ...
Les médecins m’avaient condamnée à quelques mois de survie ! Je peux vous dire qu’en entendant ça, tout s’écroule pour vous : famille, travail, relation... Heureusement vous m’avez trouvée proposée votre aide. Avec vous j’ai découvert en moi des ressources impensables. Vous êtes vraiment une Fée. Je me suis soignée toute seule, avec votre aide, la confiance et la seule volonté de survivre. Ca fait deux ans que ca dure. Un miracle ! J’ai à nouveau des projets ». (Anne-Sophie P. 06300 NICE)

“ Je vis un vrai conte de fée … Vous avez dit vrai !
Votre aide m’apporte chaque jour son lot d’heureuses surprises: une coquette somme au Loto, une rencontre merveilleuse, ma réussite aux examens, un stage bien rémunéré…Hier encore, j’ai fait un “Millionnaire” gagnant ! Depuis que je reçois vos e-mails, je vis un vrai conte de fée…”
(Sandrine L. 78100 SAINT-GERMAIN)

Georges de La Fuly a dit…

Bien sûr mon gros, bien sûr. Tu sais ce qu'ils te disent les violons trafiqués ? Connard !

Marcoroz a dit…

Les insultes sont tolérées sur ce blog ?

Appas a dit…

Le son baroque est très beau.

Marcoroz a dit…

Cela dit, Erbarme dich, ça n'est pas très catholique. C'est plutôt luthérien, comme l'était Bach. Un extrait des messes brèves ou de la Messe en si serait religieusement plus accordé, non ?

Beuche a dit…

C'est la messe et l'église, que je veux catholiques, pas nécessairement la musique l'accompagnant !
Beuche, ou le roi du métissage.

Marcoroz a dit…

Heureusement, Beuche nous est revenu vivant de son week-end. Et je lui souhaite de rester parmi nous le plus longtemps possible, surtout qu'il est encore jeune, il me semble, et l'on n'a aucune raison de se presser.

Beuche a dit…

Ecoutez, Georges, au lieu de laisser un billet à la con que je viens de supprimer, je vais vous dire ce que je pense de vos invectives sauvages : elles me gonflent, à force.
Traiter quelqu'un de connard parce que son jugement sur telle ou telle chose ne vous sied pas, et bien sûr sans vous expliquer, est non seulement très désagréable, mais aussi parfaitement vain.
Et vous le savez très bien ! Et ça doit vous amuser !
Mais moi, là, ça me gonfle.
Ouvrir sa gueule uniquement pour corriger, vilipender, insulter et mépriser, ça a ses limites.
Si vraiment vous ne pensez que du mal de ce blog et de ses intervenants, rien ne vous empêche d'aller voir ailleurs.
Je n'ai nullement l'intention de supprimer quelque message que ce soit, mais je n'ai pas plus le désir de continuer à lire des mots fielleux à chacun de mes billets.
Que telle ou telle chose ne vous plaise pas et que vous le disiez, très bien, mais de là à ce que ce soit systématique, il y a une distance dont on se demande comment elle n'est pas assez dissuasive pour que le lecteur dégoûté puisse ne pas aller voir ailleurs.
Depuis que j'ai fait le billet "Bon anniversaire Georges", vous ne cessez de vous amuser à vous jouer de moi : « Ah, t'aimes ma franchise, eh bien je vais te faire voir si tu vas l'aimer MÊME quand je ne serais QUE désagréable. »
C'est désolant.

Silencieuse a dit…

"Ecoutez", "je vais vous dire" sont des simulacres de l'ouïe pervertie par la blogosphère, simulacres qui empêchent les individus de s'entendre.

Beuche a dit…

Quant à vous, Marco, vous n'avez pas êté toujours correct, ici...

https://www.blogger.com/comment.g?blogID=3674823936958951175&postID=3503299165804843674&isPopup=true

Georges, quand il insulte, le fait toujours en son nom, au moins.

Beuche a dit…

Silencieuse, oui, d'accord, en effet, mais si je réponds sur la blogosphère, c'est que je réponds à quelque chose qui s'est passée sur la blogosphère, ce qui fait, d'ailleurs, que vous dites cela de la blogosphère sur la blogosphère.

Anonyme a dit…

Bouh le vilain !

Beuche a dit…

Pas d'anonyme ici. Premier et dernier avertissement.

Marcoroz a dit…

Cher Beuche, c'est exact, hélas. C'était une regrettable méprise, et je suis vraiment désolé d'avoir balancé cela à tort et à travers, ce jour là (cependant, je voulais le faire en mon nom, je veux dire en mon pseudo, simplement je ne parvenais pas à le faire apparaître en raison d'un pb technique).

Comment cela a-t-il pu m'arriver ? Cherchant des blogs non contaminés par le politiquement correct actuel, ni par certaines idéologies qui font des ravages actuellement, je m'étais retrouvé sur des sites où sévissaient des gens qui professaient une autre idéologie guère plus recommandable, si vous voyez ce que je veux dire: soit des intervenants, soit l'hôte lui-même. D'un site à un autre, c'était déception sur déception. Il me semble d'ailleurs que ce Georges fait partie de ceux qui m'avaient insulté ailleurs. Et par le jeu des liens, je ne sais plus comment exactement, je me retrouve chez vous. Dans mon élan, tombant sur deux ou trois thèmes et expressions que, par association d'idées, j'interprète trop vite et pas comme il fallait, je crois me retrouver une fois de plus chez un de ces réacs rancis, antisémites, etc. et, excédé comme je l'étais déjà, je vide mon sac.

Depuis, sachant combien j'ai fait erreur sur la personne, je suis mortifié. Comment me faire pardonner ?

Mais je crois que Beuche est grand et il pardonne. S'il pouvait aussi effacer le corps du délit, ce serait bien.

Beuche a dit…

Merci pour votre sincérité et vos explications, Marco.
Quant à vous pardonner, la question ne se pose absolument pas : je ne vous ai pas rappelé cela par vengeance, je ne vous en garde aucune rancune (à tel point que j'avais complètement oublié jusqu'ici que c'était vous l'auteur de cette vacherie) mais pour vous dire que vous aussi, vous pouviez un peu déraper, et que je l'avais "toléré", pour reprendre votre terminologie.
Aussi, puisque je ne l'avais pas supprimé à l'époque, je ne vais pas le faire maintenant.
C'est pour la postérité !!!

Je déteste supprimer des messages, même celui de cet anonyme facétieux et rusé (car non identifiable même sur mon Statcounter (tiens tiens tiens...)), je le laisse, alors...

Allez, comme dirait Ophélie Winter (car Beuche a de sacrées références) : No soucy !

Marcoroz a dit…

Alors, peut-être pouvez-vous supprimer au moins le doublon ?

Beuche a dit…

C'est fait !